Réalisation : Rich
Moore
Genre : Film
d’animation
Année : 2012
Durée :
1h48
Synopsis
Dans une salle d’arcade,
Ralph la casse est le héros mal aimé d’un jeu des années 80. Son rôle est
simple : il casse tout ! Pourtant il ne rêve que d’une chose, être aimé de
tous…
Vanellope Van Schweetz
quant à elle, évolue dans un jeu de course, fabriqué uniquement de sucreries.
Son gros défaut : être une erreur de programme, ce qui lui vaut d’être
interdite de course et rejetée de tous…
Ces personnages n’auraient
jamais dû se croiser… et pourtant, Ralph va bousculer les règles et voyager à
travers les différents mondes de la salle d’arcade pour atteindre son but :
prouver à tous qu’il peut devenir un héros… Ensemble, arriveront-ils à
atteindre leurs rêves ?
Mon
analyse
[J’ai l’impression d’être
le lapin dans Alice au pays des
merveilles tellement je suis en retard dans mes chroniques… J’ai vu ce film
il y a plusieurs mois, il faut maintenant que je fasse remonter tous mes
souvenirs. Pourquoi me suis-je donnée le défi de chroniquer tout ce que je
regarde et lis ? Why ? Bon, finis les jérémiades, let’s go !]
Je n’avais pas été
particulièrement enthousiaste à la sortie de la bande-annonce alors que je suis
les Disney avec beaucoup d’intérêt. Celui-ci ne me tentait pas outre mesure. A
la sortie de Ralph 2.0, ils ont passé
ce premier film à la télévision et c’était le meilleur moyen de m’en faire une
idée. Pour vous le dire tout de suite : c’était pas foufou mais c’était très sympa.
Déjà, j’adore le principe
que l’on puisse se retrouver au cœur même de jeux d’arcade. Depuis Toy Story, je ne sais pas vous mais on
est tous curieux de savoir ce qui se passe une fois que l’on a arrêté de jouer.
Toy Story a été hyper innovateur à ce
niveau (d’ailleurs, bientôt Toy Story 4 ♡).
Je trouve que Vice-versa entre un peu
dans cette même catégorie de connaître profondément les choses derrière le
visuel de base (you know what I mean ?) et que les conséquences nous
atteignent nous les humains.
Revenons à Les Mondes de Ralph : on est face à
un méchant qui ne veut plus l’être parce qu’il ressent une profonde solitude.
On lui accorderait le droit de faire la fête avec les gentils s’il parvient à
remporter une médaille et à prouver qu’il n’est pas qu’un être destructeur mais
qu’il a bon fond. C’est à partir de là qu’il se retrouve à explorer différents
jeux d’arcade jusqu’à rencontrer Vanellope, une petite fille adorable mais
exubérante qui est rejetée par les autres parce qu’elle a un bug. A partir du
moment où elle apparaît (et ça vient plus ou moins rapidement), on se demande
pourquoi ça s’appelle Les Mondes de Ralph
et n’a pas de lien avec Vanellope alors qu’ils forment un duo qui détone et qu’on
adore, et qu'elle est autant l'héroïne que Ralph est le héros.
Le jeu d’arcade où la
petite se trouve est un monde de bonbons en mode Candy Crush (même si c’est un jeu de courses de voiture) et le visuel est
juste incroyable.
C’est mignon et enfantin
mais certaines répliques m’ont bien fait rire, surtout quand c’est Vanellope
qui s’exprime (cette gamine est incroyable). J’ai bien aimé ce Disney et même
si ce n’est pas mon préféré, on passe un très bon moment. Je suis maintenant d’autant
plus curieuse de regarder Ralph 2.0
(même s’il n’y a toujours pas le nom de Vanellope) parce que d’après les
extraits, on y voit les princesses Disney toutes réunies et en action. J’ai
très envie de découvrir cela. Quant à Les
Mondes de Ralph, il se déguste comme un bonbon tendre et un peu acidulé.
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