Réalisation : Rob
Marshall
Genre : Fantastique,
Musical
Année : 2018
Durée :
2h10
Synopsis
Michael Banks travaille à
la banque où son père était employé, et il vit toujours au 17 allée des
Cerisiers avec ses trois enfants, Annabel, Georgie et John, et leur gouvernante
Ellen. Comme sa mère avant elle, Jane Banks se bat pour les droits des ouvriers
et apporte son aide à la famille de Michael. Lorsque la famille subit une perte
tragique, Mary Poppins réapparaît magiquement dans la vie de la famille. Avec
l'aide de Jack, l'allumeur de réverbères toujours optimiste, Mary va tout
faire pour que la joie et l'émerveillement reviennent dans leur existence...
Elle leur fera aussi découvrir de tous nouveaux personnages plein de fantaisie,
dont sa cousine, l'excentrique Topsy.
Mon
analyse
Je me félicite tout de
suite (ce n’est pas bien de se jeter des fleurs mais tant pis) de ne pas avoir
regardé Mary Poppins (1964) avant d’aller
voir ce film au cinéma (ça fait trèèès longtemps que je ne l’ai pas vu… pour
tout vous dire, ça doit peut-être remonter à mon enfance..). Bref, il me
restait très peu de souvenirs avant de m’y rendre et tant mieux parce que selon
l’amie avec qui je suis allée le voir (et les extraits que j’ai pu voir quand
il est passé à la télévision) Le Retour
de Mary Poppins est simplement un remake de Mary Poppins. Pardonnez-moi l’expression mais tout est pompé sur le
premier. Des scènes, des danses ou encore des chansons ne sont que des versions
modernes du premier film. Ça ne m’a pas gêné vu que je n’avais pas revu celui
des années 60 mais ma pote, je la voyais lever les yeux au ciel donc je peux
vous dire que ça l’a un peu soûlé.
Une autre chose dont je ne
me souvenais pas aussi, c’est qu’ils chantent ÉNORMÉMENT, c’est fou ! Tout
est prétexte à chanter, TOUT. Dans les Disneys, c’est la base, les personnages
chantent et c’est ce qu’on aime mais là franchement, c’est trop ! (mais ce
n’est que mon avis personnel)
Quant à Mary Poppins… qu’est-ce
qu’elle est vaniteuse et narcissique ! (Apparemment, ce n’est pas le cas
dans le premier) Elle n’arrête pas de se regarder dans le miroir et de se
croire supérieur. Ce côté-là est un peu exaspérant. Cependant, elle est tout de
même sensible, affectueuse (à sa manière) et cherche à aider tout en faisant
croire que ce n’est pas le cas. C’est un être ambigu.
J’ai beaucoup aimé l’allumeur
de lampadaires et les enfants sont les complets opposés de Jeanne & Michael
quand ils étaient petits dans le premier (aujourd’hui, ce sont des adultes qui
ont cessé d’y croire..). Les trois petits sont les enfants de Michael, ils sont
tout mignons, tout adorables, on a envie de les avoir comme enfants.
On passe un bon moment en
regardant ce film, certes un peu long mais agréable. Les images sont sublimes
et même s’ils chantent beaucoup, ça met dans l’ambiance et ça donne envie de s’y
mettre aussi. (Je suis un être contradictoire dans mes propos.)
CONSEIL : ne regardez
pas le film de 1964 juste avant de voir celui de 2018 parce que ce serait hyper
redondant pour vous.
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