Editions : Pocket
Genre : Roman
Date de sortie : 2014
Nombre
de pages : 336
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Cela
fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fées. Caissière dans un
supermarché, elle élève seule son petit Lulu, unique rayon de soleil d’une vie
difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire.
Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en
Bretagne. Tant de générosités après des années de galère : Julie reste
méfiante, elle n’a pas l’habitude. Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire
des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend…
Mon
avis
Agnès Ledig me tentait
depuis quelques temps et en trouvant Juste
avant le bonheur, j’avais très envie de m’y plonger rapidement mais la
couverture se prêtait bien à une lecture estivale.
L’histoire démarre et tout
va très vite, trop vite, on sentirait presque ce qu’il va se passe après… mais
non on ne peut pas s’y attendre, c’est tellement triste. Mon petit cœur s’est
fendu en deux et mes larmes ne pouvaient plus s’empêcher de couler…
Il va être compliqué de
vous parler de ce livre sans rien vous dévoiler du plus gros de l’intrigue
maiiis pardonnez-moi par avance si je laisse fuiter quelques détails sans m’en
rendre compte en vous parlant de mon ressenti face à ce livre.
Vous l’aurez compris :
un gros évènement a lieu et vient tout chambouler, on ne le prévoit pas mais ce
qui s’ensuit oui ! De ce fait, cela vient un peu (beaucoup) gâcher le
reste de la lecture. Dès le début, l’histoire m’a semblé démarrer trop vite
(comme je vous le disais) au point que l’aboutissement attendu a lieu très
rapidement mais la remise en question de l’œuvre suite à vous-savez-quoi (je me
crois dans Harry Potter) (… ou pas) (c’est mystérieux tout ça) m’agace. Oui, j’ai
passé le reste de l’histoire a levé les yeux au ciel et à souffler d’agacement
parce que c’est si prévisible et niais que j’ai eu plusieurs fois l’envie d’arrêter
ma lecture. Et puis parfois quand on abuse trop des métaphores, vous voyez ?
Trop de métaphores tuent la métaphore. Il faut parfois arrêter de coller des
images sur TOUT pour faire passer des messages. La fin n’est remplie que de ça.
Toutefois, je ne sais pas si c’est le cas au début… parce que j’étais prise
dans l’histoire. Et puis vraiment TROP de leçons sur la vie !
J’ai un avis assez mitigé
sur cette lecture. J’étais à la fois émue et déçue… En tout cas, on m’avait
prévenu de préparer des mouchoirs et ces personnes avaient tout à fait raison. Pars avec lui est arrivé dans ma PAL
depuis et je me ferais un plaisir de le lire pour connaître davantage Agnès
Ledig.
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