Réalisation : George
Erschbamer
Genre : Téléfilm,
Suspense
Année : 2011
Durée :
1h50
Synopsis
Aspirante comédienne, Dana
est folle de joie quand son agent lui propose un contrat juteux. Un gros agent
immobilier la paie pour prendre sa place lors qu’un cocktail. Mais rapidement,
la jeune femme se retrouve prise dans une dangereuse histoire…
Mon
analyse
Vous vous souvenez quand je
vous avais dit que je ne regardais quasiment jamais de téléfilm ? Bon, j’ai
récidivé.
Je me suis laissée prendre
au jeu parce que je ne travaillais pas, que mon chat était confortablement installé sur mes jambes et qu’il y avait l’actrice d’Une nounou d’enfer (Maggie), série que j’adorais et que j’adore
encore.
Notre héroïne Dana,
actrice, se retrouve dans une sale affaire qu’elle croyait pourtant plus ou
moins réglo où elle doit remplacer une femme « influente » à une
petite fête parce que cette dernière est occupée ce jour-là, tout cela pour une
jolie petite somme d’argent dont elle ne verra jamais la couleur. On tente de
la tuer, sa meilleure amie est agressée, les gens qui l’ont embauché font semblant
de ne plus la reconnaître, il y a un mort et la police ne la croit pas. Je me
demande toujours comment ils arrivent à se mettre dans une telle galère parce
que (à moins que ma naïveté dépasse certaines limites), ça n’arrive pas dans la
réalité et qu’il ne faut pas pousser mémé dans les orties. C’est vraiment ce
qui m’horripile le plus dans ce genre d’histoires.
Bref, rien n’est censé me
plaire et pourtant, je suis prise dedans comme une mouche dans le miel (ça se
dit ?), j’ai envie de connaître la suite, si elle s’en sort, si on finit
par la croire, si sa meilleure amie s’en sort, etc, etc… Pour vous résumer le
truc, en gros, c’est elle qui mène l’enquête, se défend toute seule, sort avec
le flic et tourne un film de tout ce qu’elle a vécu. Je vous spoile
complètement mais est-ce que cela vaut vraiment le déplacement ?
Tomberez-vous un jour sur ce genre de téléfilm ? Probablement pas mais si
c’est le cas, il faut que vous me pardonniez mais il fallait que ça sorte. (Je
me rends compte en vous écrivant que mon humeur joue vachement sur mes
chroniques, il faut que je fasse attention).
C’était un peu tiré par les
cheveux et par moment, un peu trop dans le prévisible mais l’héroïne a réussi à
me captiver mais aussi étrangement à me faire rire par son côté ironique dont
tout n’est pas perdu.
(Il se peut que cet article change si je me relis et me rends compte que j'y suis peut-être allée un peu fort, ahah).
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