mercredi 31 octobre 2018

March comes in like a lion - Tome 1

Auteure : Chica Umino
Editions : Kana
Genre : Manga
Date de sortie : 2017
Nombre de pages : 181

Quatrième de couverture
Rei Kiriyama est lycéen, il habite seul dans un quartier populaire de Tokyo. Malgré son jeune âge il est joueur professionnel de shôgi.
Enfant, il a perdu toute sa famille dans un accident et depuis il vit dans une grande solitude.
Un jour, il fait la connaissance de trois sœurs : Akari, Hinata et Momo. A leur contact, Rei change peu à peu…
Une histoire chaleureuse dans laquelle des personnes vont peu à peu retrouver ce qu’elles avaient perdu.
Mon avis

J’avais acheté March comes in like a lion en même temps que Séki, mon voisin de classe, c’était un peu sur le mode tranche de vie – école et c’est ça qui me faisait envie mais maintenant je me rends compte que s’il n’y a pas une véritable histoire avec de vraies actions, je m’ennuie un peu..

Pour March comes in like a lion, il ne se passe strictement rien mais la « force » de l’histoire (outre le fait qu’il faille être un joueur passionné du jeu Shôgi), c’est la mélancolie qui se dégage de tous nos personnages.

Séki, mon voisin de classe - Tome 1

Auteur : Takuma Morishige
Editions : Akata
Genre : Manga japonais
Date de sortie : 2015
Nombre de pages : 176

Quatrième de couverture
Rumi est une élève studieuse et sérieuse… Mais elle a un GROS problème ! Et son problème, c’est Séki ! C’est qui ? Ben, Séki, son voisin de classe ! Cet énergumène aussi stoïque que génial passe son temps à… tuer le temps ! Parce que les cours, c’est vraiment pas son truc. Lui, ce qu’il aime, c’est bricoler, s’amuser, découper, inventer… Faire tout ce qui lui passe par la tête, sur son bureau ! Difficile alors, pour la pauvre lycéenne, de rester concentrée, alors que son voisin s’agite dans tous les sens, sans jamais se faire prendre par les professeurs.
Mais le pire, dans tout ça, c’est que quand l’imagination de Séki déborde un peu trop, c’est toujours sur elle que ça retombe…
Mon avis

Ça y est, je suis lancée dans le monde du manga, c’est de l’amour ! J’adore découvrir une histoire tout en pouvant regarder de sublimes dessins remplis de détails surprenants. Et c’est un moyen génial de se détendre quand on lit une histoire plus profonde et plus intense. Non pas que ce ne soit pas le cas pour un manga (dixit The Promised Neverland) mais pour Séki, mon voisin de classe, c’est une lecture tranquille et détente.

L’Arnacœur

Titre original : L’Arnacœur
Réalisation : Pascal Chaumeil
Genre : Comédie
Année : 2010
Durée : 1h44

Synopsis

Votre fille sort avec un sale type ? Votre soeur s'est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd'hui, il existe une solution radicale, elle s'appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n'importe quel petit ami en ex. Mais Alex a une éthique, il ne s'attaque qu'aux couples dont la femme est malheureuse.

Alors pourquoi accepter de briser un couple épanoui de riches trentenaires qui se marie dans une semaine ?
(Allociné)

Mon analyse

Romain Duris je t’aime ! Commençons sur de bonnes bases.

Il est l’une des premières raisons qui m’ont poussé à regarder ce film et à l’aimer fortement. Il est accompagné par un magnifique panel d’acteurs connus qui sont Vanessa Paradis, François Damiens et Julie Ferrier. Par contre, impossible de me souvenir si je suis allée le voir au cinéma ou non… En tout cas, je me rappelle l’avoir ÉNORMÉMENT regardé en DVD.

mardi 30 octobre 2018

Mémé dans les orties

Auteure : Aurélie Valognes
Editions : Le Livre de Poche
Genre : Comédie, Feel-good
Date de sortie : 2016
Nombre de pages : 264

Quatrième de couverture
Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant -, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 92 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.
Mon avis

Depuis En voiture, Simone et Au petit bonheur la chance (surtout cette pépite), j’adore Aurélie Valognes qui sait à la fois me faire rire et m’émouvoir. On sait automatiquement qu’en lisant un de ses livres, on va passer un excellent moment (je le dis pour quelques auteures mais je vous assure que c’est vrai).

Dans ce premier livre, on découvre Ferdinand, un vieil homme grincheux qui aime se montrer méchant (il me fait penser à Raymond dans Scènes de ménage) mais on sent immédiatement qu’on va l’aimer (pour ma part, ce fut tout de suite le cas) parce que sa solitude crève les yeux et qu’on aimerait juste être là pour lui, comme le font Juliette et Béatrice par la suite.

Qui a tué mon père

Auteur : Édouard Louis
Editions : Seuil
Genre : Roman autobiographique
Date de sortie : mai 2018
Nombre de pages : 96

Quatrième de couverture
« L’histoire de ton corps accuse l’histoire politique. »
Mon avis


Intriguée par son titre et son petit nombre de pages, je me suis laissée embarquer par cette histoire qui pourrait nous sembler familière à tout un chacun.

Je tiens d’abord à préciser qu’il ne s’agit aucunement d’un policier et le père de l’auteur… ou alors je ne vous dis rien.. oui c’est mieux, OUBLIEZ TOUT !

Je parlais du caractère familier de l’histoire parce que j’ai la sensation que l’on peut tous retrouver un peu de notre propre père chez le père de l’auteur (à croire que chaque père est identique par certains côtés) (en tout cas, j’y retrouve du mien). 

lundi 29 octobre 2018

Le Secret

Auteur : Frédéric Lenoir
Editions : Le Livre de Poche
Genre : Roman
Date de sortie : 2012
Nombre de pages : 160

Quatrième de couverture
« Émilie fut la seule à remarquer que son fils avait dans le regard quelque chose de nouveau, d’indéchiffrable, une lumière impalpable qui lui rappelait ce bonheur intérieur qu’elle-même ressentait lorsqu’elle allait visiter son propre secret. Elle sut que Pierre taisait l’essentiel, mais elle resta silencieuse. »
Que s’est-il donc passé dans la vieille vigne abandonnée où l’on a retrouvé Pierre Morin inanimé après deux jours d’absence ? Dans le village, tous s’interrogent, se passionnent et cherchent à percer à tout prix son secret.
Mon avis

Fin septembre, je me suis mise en tête de diminuer ma PAL en lisant tous les livres au nombre de pages réduits, et c’est le seul qui l’a fait diminuer… ahah ! (mais je pense m’y remettre l’année prochaine).

Le nom de l’auteur me disait vaguement quelque chose mais je le découvre vraiment avec cette histoire et je suis agréablement surprise. Dès les premières pages, j’ai la sensation de lire l’œuvre d’un de nos grands auteurs classiques.

L'ami retrouvé

Auteur : Fred Uhlman
Editions : Folio
Genre : Roman
Date de sortie : 1987
Nombre de pages : 126

Quatrième de couverture
Agé de seize ans, Hans Schwarz, fils unique d’un médecin juif, fréquente le lycée le plus renommé de Stuttgart. Il est encore seul et sans ami véritable lorsque l’arrivée dans sa classe d’un garçon d’une famille protestante d’illustre ascendance lui permet de réaliser son exigeant idéal de l’amitié, tel que le lui fait concevoir l’exaltation romantique qui est souvent le propre de l’adolescence.
C’est en 1932 qu’a lieu cette rencontre, qui sera de courte durée, les troubles déclenchés par la venue de Hitler ayant fini par gagner la paisible ville de Stuttgart. Les parents de Hans, qui soupçonnent les vexations que subit le jeune homme au lycée, décident de l’envoyer en Amérique, où il fera sa carrière et s’efforcera de rayer de sa vie et d’oublier l’enfer de son passé. Ce passé qui se rappellera un jour à lui de façon tragique.
Mon avis

Après avoir découvert Inconnu à cette adresse, cette lecture m’a donné envie de relire L’ami retrouvé, un livre lu à l’école. Les deux histoires sont assez similaires même si elles ne finissent pas du tout de la même manière. Personnellement, je trouve qu'elles ont certaines similitudes dont la plus poignante est celle d'une amitié profonde.

Bref, c’est avec un global gros trou de mémoire en ce qui concerne l’atmosphère de l’histoire et toujours autant d’émotions que je me suis replongée dans l’œuvre de Fred Uhlman.

samedi 27 octobre 2018

The Promised Neverland - Tome 1

Scénario : Kaiu Shirai
Dessin : Posuka Demizu
Editions : Kazé France
Genre : Manga Japonais
Date de sortie : 2018
Nombre de pages : 192

Quatrième de couverture
Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
Mon avis


J’en entends beaucoup parlé sur les réseaux sociaux de ce manga et quelle belle découverte ! Je comprends l’enthousiasme des gens face à ce petit bijou. (C’est le deuxième manga que je lis de toute ma vie, c’est important de le préciser, ahah !)

Pour être totalement honnête, j’ai eu peur au début en voyant les enfants avec des tatouages de numéros dans le cou, j’étais en mode « expériences bizarres – Seconde Guerre Mondiale » et là, je me suis demandée si j’allais pouvoir continuer ma lecture… mais non ce n’est pas le cas, l’histoire revêt plus un caractère fantastique. The Promised Neverland de son titre original Yakusoku no Neverland est comme un conte que l'on raconte aux enfants, c'est une histoire qui fait peur.

vendredi 26 octobre 2018

À la lumière du petit matin

Auteure : Agnès Martin-Lugand
Editions : Michel Lafon
Genre : Fiction
Date de sortie : mars 2018
Nombre de pages : 336

Quatrième de couverture
À l’approche de la quarantaine, Hortense se partage entre son métier de professeur de danse et sa liaison avec un homme marié. Elle se dit heureuse, pourtant elle devient spectatrice de sa vie et est peu à peu gagnée par un indicible vague à l’âme qu’elle refuse d’affronter. Jusqu’au jour où le destin la fait trébucher… Mais ce coup du sort n’est-il pas l’occasion de raviver la flamme intérieure qu’elle avait laissée s’éteindre ?
Mon avis

Depuis ma découverte des Gens heureux lisent et boivent du café, je suis devenue une grande admiratrice d’Agnès Martin-Lugand alors quand j’ai vu son dernier roman à la bibliothèque près de chez moi, clairement, je ne pouvais pas passer à côté.

Je commence ma lecture en sachant pertinemment que je vais passer un bon moment : il y aura des parties difficiles pour aller de mieux en mieux, parce que c’est la marque de fabrique de l’auteure ; on touche le fond pour qu’ensuite, on puisse se relever progressivement jusqu’à atteindre une certaine idée du bonheur.

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate

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Titre original : The Handmaid’s Tale
Réalisation : Bruce Miller
Genre : Drame, Science-Fiction, Dystopie
Année : 2017 – en production
Durée : 10 épisodes de 47 minutes à 1 heure (1 saison)

Synopsis

Dans une société dystopique et totalitaire au très bas taux de natalité, les femmes sont divisées en trois catégories : les Epouses, qui dominent la maison, les Marthas, qui l'entretiennent, et les Servantes, dont le rôle est la reproduction.
(Allociné)

mardi 23 octobre 2018

The Good Place

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Titre original : The Good Place
Réalisation : Michael Schur
Genre : Comédie
Année : 2016 – en production
Durée : 26 épisodes de 22 à 45 minutes (2 saisons)

Synopsis

À sa mort, l'égocentrique Eleanor Shellstrop se retrouve par erreur dans un monde paradisiaque. Déterminée à y rester, elle va tenter de devenir une meilleure personne.
(Netflix)

Mon analyse

J’entends régulièrement parler de cette série sur les réseaux sociaux (en bien voire en très bien) et comme j’adore l’actrice principale Kristen Bell (Veronica Mars forever), je me suis lancée dans cette série avec joie et à corps perdu, mais sans attente particulière (je n’avais même pas lu de résumé ou autre).

Dès les deux premiers épisodes, j’étais accro à la folie de cette série, c’est fou ! Elle m’a tout de suite fait rire par son absurdité et ses situations loufoques. La plus drôle, c’est bien évidemment Kristen Belle aka Eleanor et pour pouvoir profiter pleinement de tout ce qu’elle dit (gloire à elle !), il est primordial de regarder la série en VO (en plus, vous travaillez votre anglais pour votre plus grand plaisir !)

Je vous conseille vraiment de regarder cette série ! C’est un grand coup de cœur ! (En plus, quand on entend la petite musique du générique, on a l’impression de jouer aux Sims).

👼

Les Vieux Fourneaux

Titre original : Les Vieux Fourneaux
Réalisation : Christophe Duthuron
Genre : Comédie
Année : 2018
Durée : 1h29

Synopsis

Pierrot, Mimile et Antoine, trois amis d’enfance de 70 balais, ont bien compris que vieillir était le seul moyen connu de ne pas mourir et ils sont bien déterminés à le faire avec style ! Leurs retrouvailles à l’occasion des obsèques de Lucette, la femme d’Antoine, sont de courte durée … Antoine tombe par hasard sur une lettre qui lui fait perdre la tête. Sans fournir aucune explication à ses amis, il part sur les chapeaux de roue depuis leur Tarn natal vers la Toscane. Pierrot, Mimile et Sophie, la petite fille d’Antoine enceinte jusqu’aux dents, se lancent alors à sa poursuite pour l’empêcher de commettre un crime passionnel… 50 ans plus tard !
(Allociné)

Mon analyse

La bande-annonce m’avait partiellement plu (surtout pour Pierre Richard) et en voyant le film passer près de chez moi, je me suis laissée guider jusqu’à mon fauteuil pour voir cette comédie.

Je ne l’ai su qu’à la fin mais ce film est l’adaptation de la bande dessinée franco-belge du même nom dont le scénario est de Wilfrid Lupano et les dessins de Paul Cauuet, publiée en 2014, et on le comprend pourtant très bien en voyant quelques scènes sous forme de dessins (je suis aveugle parfois).

Honeydukes : un livre à gratter et à sentir

Auteurs : Collectif
Editions : Gallimard Jeunesse
Genre : Livre-activité
Date de sortie : 4 octobre 2018
Nombre de pages : 24

Quatrième de couverture
Les friandises du monde de Harry Potter sont délicieuses, détonantes ou dégoûtantes... mais toujours surprenantes! Un livre grâce auquel petits et grands pourront sentir les parfums des incroyables sucreries de chez Honeydukes et revivre les scènes les plus savoureuses de la saga.
Mon avis
J’attendais ce livre avec beaucoup d’impatience quand je l’ai vu à sa sortie anglaise parce que je suis tout simplement fan du concept ! A la base, j’aime manger (qu’on se le dise, c’est ma deuxième passion dans la vie) et savoir que j’allais pouvoir sentir les odeurs des confiseries provenant de la boutique Honeydukes de l’univers Harry Potter, j’étais absolument conquise par l’idée.

lundi 22 octobre 2018

Atypical - Saison 2

Titre original : Atypical
Réalisation : Robia Rashid
Genre : Comédie
Année : 2018
Durée : 10 épisodes de 30 minutes

Synopsis

En quête d'amour et d'indépendance, Sam, un jeune autiste de 18 ans découvre les aléas du passage à l'âge adulte. À la fois drôle et douloureux, ce cheminement à la découverte de lui-même bouleverse toute sa famille dont les membres, confrontés aux changements qui affectent leur propre existence, se posent cette question fondamentale : que signifie être normal ?

[Je laisse le même synopsis que pour la première saison parce qu’il correspond toujours aussi bien.]

Mon analyse

J’avais plus qu’adoré la première saison : elle était fraîche, drôle et attendrissante. La deuxième a gardé toutes ces qualités rassurez-vous et plus encore. Je ne suis qu'amour pour cette série et espère fortement qu'il y aura d'autres saisons.

On retrouve la famille Gardner déchirée par l’adultère de la mère Elsa. Certes, ce qu’elle a fait est vraiment dégueulasse et impardonnable mais elle ne mérite absolument pas d’être traitée comme elle l’est dans la série. J’ai été un peu choquée par la brutalité morale de certaines scènes, ils se comportent TOUS clairement comme si elle n’existait plus dans cette famille et la « pauvre » elle ne disait rien… alors que j'aurais eu envie de crier.

samedi 13 octobre 2018

BOOK HAUL & OTHERS - Septembre 2018

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Au début du mois, je suis allée à Primark donc folies folies folies. Et puis après, il y a des sorties plus ou moins raisonnables à Cultura, dans des brocantes, à cash converter (et easy cash)… Tout ça c’est pas pour aider, héhé ! 

Voilà mes petits achats du mois.

jeudi 11 octobre 2018

Bilan Défi PKJ de Septembre


Depuis la rentrée, les Défis PKJ sont de retour (houra !) et comme j’aime beaucoup participer à ce genre de petits défis par mois, c’est avec grand plaisir que j’ai accordé mes lectures à ces trente critères. Cependant, qui dit reprise du boulot dit moins de lectures, du coup, je n’ai pas fait un score phénoménal.. : 18 sur 30

Et vous, vous y participez ? Ça donne quoi ?

Caribou Baby

Auteure : Meg Rosoff
Editions : Rageot
Genre : Humour
Date de sortie : septembre 2018
Nombre de pages : 96

Résumé
Jess  a 17 ans et elle vient d’avoir un bébé. Bon… pas n’importe quel bébé : un bébé caribou. Personne ne sait comment c’est arrivé. On n’avait rien détecté. Avec Nick, son copain bien humain, Jess apprend à accepter l’absurdité de la vie, à devenir mère, à comprendre que son enfant est un individu, parfois encombrant, mais un individu à part entière. Un être qu’il faut choyer… et savoir laisser vivre et libérer le moment venu.
Mon avis

On ne peut qu’être tout de suite attiré par le résumé de ce livre et la couverture est très douce tout en nous montrant l’absurdité de la situation. On pourrait presque l’associer à une histoire pour enfants mais elle est bien plus que cela. Je ne sais pas si c’est moi mais j’y vois plein de messages derrière et de ce fait, il me touche encore plus.

Au premier abord, on se dit que l’histoire est totalement farfelue : une adolescente vient d’accoucher d’un caribou et, après les premiers émois, elle cherche à l’élever comme un enfant « normal ». L’ironie est poussée par le fait que cela ne choque limite personne qu’elle n’ait pas eu un enfant humain et qu’il existe une association qui regroupe d’autres personnes ayant des enfants animaux.

Les Prénoms épicènes

Auteure : Amélie Nothomb
Editions : Albin Michel
Genre : Roman, Fiction
Date de sortie : 2018
Nombre de pages : 162

Quatrième de couverture
« La personne qui aime est toujours la plus forte. »
Mon avis

Chaque année, j’attends avec impatience la sortie du nouveau roman d’Amélie Nothomb parce que j’adore cette auteure, son style d’écriture et que je ne suis (quasiment) jamais déçue.

Avec Les Prénoms épicènes, j’ai l’impression d’être dans une histoire inversée de son précédent livre Frappe-toi le cœur, sauf que c’est une fille qui n’est pas aimée de son père (et pas de sa mère) et que celle-ci ne l’aime pas non plus en retour. La similitude est quelque peu venue altérer mon jugement de l’œuvre.

Outre ce fait, j’ai apprécié cette vengeance qui se conjugue à l’histoire d’une vie entière et qui ne détruit pas que la personne intéressée mais TOUS ceux qui sont en contact avec elle. L’idée de base est super mais pas vraiment approfondie… J’ai eu le sentiment qu’Amélie Nothomb aurait pu aller plus loin et rendre ce livre plus unique.

La Passe-miroir - Livre 3 : La Mémoire de Babel

Auteure : Christelle Dabos
Editions : Gallimard Jeunesse
Genre : Fantastique
Date de sortie : 2017
Nombre de pages : 496

Quatrième de couverture
Deux ans et sept mois qu’Ophélie se morfond sur son arche d’Anima. Aujourd’hui, il lui faut agir, exploiter ce qu’elle a appris de la lecture du Livre de Farouk et les bribes d’informations divulguées par Dieu. Sous une fausse identité, Ophélie rejoint Babel, arche cosmopolite et joyau de modernité. Ses talents de liseuse suffiront-ils à déjouer les pièges d’adversaires toujours plus redoutables ? A-t-elle la moindre de chance de retrouver la trace de Thorn ?
Mon avis

C’est un tel bonheur de me replonger dans les aventures d’Ophélie, ça m’avait manqué ! (Je le lis lentemeent pour être sûre de profiter de chaque instant). Je n’avais d’ailleurs pas relu la quatrième de couverture pour me laisser la surprise de la redécouverte parce qu’en un an, j’ai eu le temps de perdre la mémoire, ce qui est bien pratique dans ces cas-là.

Dès les premières pages, on se retrouve happé par l’univers d’Ophélie et c’est si bon, c’est comme retourner dans un endroit qu’on adore où il fait beau et où on se sent à sa place ; c’est de cette manière que je perçois La Passe-miroir : un pur moment de bien-être (même si ce ne l’est pas pour Ophélie ^^)