jeudi 7 novembre 2019

La Cité Saturne - Tome 3

Auteure : Hisae Iwaoka
Editions : Kana
Genre : Manga, Seinen
Date de sortie : 2010
Nombre de pages : 192

Quatrième de couverture
Une série de science-fiction poétique et surprenante !
La Terre étant devenue une zone protégée, les hommes vivent désormais dans une cité formant un anneau autour de la planète.
A peine sorti de l’école, Mitsu devient laveur de carreau tout comme l’était son père, disparu mystérieusement. En nettoyant leurs vitres, c’est un peu comme si Mitsu pénétrait dans le petit monde de chaque habitant…
Mon avis

Encore une fois, cela va être compliqué d’écrire une chronique sur un manga dont je confonds tous les tomes… mais je relève le défi. Toutefois, ne vous étonnez pas si la chronique n’est pas très longue… héhé !

Il me semble vous avoir dit dans les précédents articles concernant ce manga que je ne savais pas si je prenais du plaisir à le lire mais maintenant que j’ai terminé de lire toute la série, je peux vous dire que finalement ce fut le cas. C’est une très belle saga (est-ce qu’on peut le dire pour des mangas ?) mais je vous en parlerai dans la chronique du dernier tome et vu mon retard dans mes avis, ça va être un peu long avant de la voir arriver.

En tout cas, plus on avance dans l’histoire, plus cela devient intéressant parce qu’il y a un objectif qui se met en place et dont on espère qu’il se réalisera à la fin. Dans ce tome, on découvre de nouveaux personnages que notre petit Mitsu vient aider ou travaille pour.

Les dessins sont toujours aussi doux, même si, parfois, je ne parviens pas à faire la différence entre plusieurs personnages et de ce fait, je les confonds dans leurs dialogues. C’est une des petites gênes avec ce manga, je confonds certains personnages même dans les dessins.

Sinon, je trouve qu’on prend le rythme, il se passe toujours un peu la même chose dans le sens où Mitsu remplit son devoir de nettoyeur de vitres mais malgré tout, on finit par y prendre goût. C’est une cadence qui nous berce comme le balancier d’une pendule. Je finis par l’aimer.

Ce n’est toujours pas un coup de cœur mais au pire on s’en fout parce que ce manga fait passer un moment tout doux avec des personnages auxquels on s’attache (Mitsu, Jin et bien d’autres).

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