Auteure : Sabaa
Tahir
Editions : Pocket
Jeunesse
Genre : Dystopie
Date de sortie : octobre
2015
Nombre
de pages : 528
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
JE VAIS TE DIRE
CE QUE JE DIS À CHAQUE ESCLAVE
QUI
ARRIVE À BLACKCLIFF :
LA RÉSISTANCE A TENTÉ DE PÉNÉTRER
DANS L’ÉCOLE UN NOMBRE
INCALCULABLE
DE FOIS.
SI TU TRAVAILLES POUR ELLE,
SI TU CONTACTES SES MEMBRES,
ET MÊME SI TU Y SONGES,
JE
LE SAURAI ET JE T’ÉCRASERAI.
Autrefois
l’Empire était partagé entre les Érudits,
cultivés, gardiens du savoir, et les Martiaux, armée redoutable, brutale,
dévouée à l’empereur. Mais les soldats ont pris le dessus, et désormais
quiconque est surpris en train de lire ou d’écrire s’expose aux pires
châtiments. Dans ce monde sans merci, Laia, une esclave, et Elias, un soldat d’élite,
vont tout tenter pour retrouver la liberté… et sauver ceux qu’ils aiment.
Mon
avis
J’étais contente de le
trouver à la bibliothèque près de chez moi. J’avais vu passer la couverture
plusieurs fois sur les réseaux sociaux sans savoir de quoi cela parlait et j’ai
pu à mon tour m’en faire un avis. En plus, la couverture est vraiment très
belle, elle me rappelle étrangement (ou non) celle de La Terre Brûlée de James Dashner (aux éditions Pocket Jeunesse) par
son petit côté désertique.
Je suis complètement fan de
la façon dont les écrivains parviennent à inventer un monde totalement nouveau et unique
(vous allez me dire c’est le principe d’une dystopie ou d’une utopie voire
simplement d’une histoire mais) moi ça m’épate toujours.
Dans Une braise sous la cendre, on est dans un monde où différentes « classes
sociales » s’opposent jusqu’à la mort. L’histoire en elle-même est très
intéressante mais la répétition dans le discours et les pensées de nos deux
héros Laia et Elias devient rapidement agaçante. Ils sont mignons, ils sont
gentils mais ils se disent TOUJOURS les mêmes choses et se posent les mêmes
questions à longueur de temps : Laia à propos de son frère et Elias par
rapport à sa meilleure amie. Mis à part cela, c’est une excellente histoire. On
souffre pour nos deux personnages (au point qu’on voudrait se venger pour eux)
mais ils sont surtout vraiment touchants. Et puis, on ne va pas se mentir, on a
très envie qu’ils finissent ensemble parce qu’ils se complètent. En effet, lui
est fort, elle est faible ; lui ne veut plus faire le mal alors qu’elle
réfléchit sérieusement à le faire pour sauver son frère. Ils se complètent
aussi par leur vie familiale. Ils ont été malmenés par la vie mais ressentent
le besoin oppressant de la vivre coûte que coûte.
Alors, étrangement, je sors
de cette lecture avec l’envie d’apprendre à me défendre et à faire du sport… Ne
me demandez pas pourquoi mais c’est ce qui ressors le plus.
C’est un coup de cœur parce
que je ne me suis pas ennuyée et que j’aime totalement les deux personnages
principaux, encore plus le fait qu’il y ait des triangles amoureux des deux
côtés pour les héros. J’ai très envie de lire la suite des aventures de Laia et
Elias dans Une flamme dans la nuit.
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