Editions : Pocket
Jeunesse
Genre : Jeunesse
Date de sortie : 2016
Nombre
de pages : 192
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Tomek,
un orphelin de 13 ans, tient la petite épicerie de son village. Un soir, une
jeune fille entre dans sa boutique et lui demande s’il vend de « l’eau de
la rivière Qjar ». « C’est l’eau qui empêche de mourir »,
dit-elle.
Ainsi
commence, pour le garçon, un immense voyage qui va le conduire à la Forêt de l’Oubli,
au village des Parfumeurs, sur l’île Inexistante…
Parviendra-t-il
à retrouver Hannah, à l’autre bout du monde, là où coule, à l’envers, cette
rivière fabuleuse ?
Mon
avis
Pourquoi ai-je pris ce
livre alors qu’il semble être adressé aux enfants ? Pour Jean-Claude Mourlevat
bien sûr ! J’avais adoré Et je
danse, aussi écrit à quatre mains avec Anne-Laure Bondoux, au point que,
lorsque je croise un de leurs livres, je ne peux pas m’empêcher de les acheter
ou au moins d’y jeter un œil. J’avais trouvé ce livre bouleversant (ma
chronique est ici) !
En ce qui concerne le tome
1 « Tomek » de La rivière à l’envers,
je le ferai lire à mes enfants plus tard parce qu’il est très beau, j’aime les
messages qu’il dégage, les situations un peu folles mais mignonnes, les
personnages et les idées qu’il véhicule. Cette histoire, c’est un petit chou à
la crème. Elle me rappelle d’autres livres à la Jules Verne, au Magicien d’Oz de Lyman Frank Baum ou
encore (et attention, grosse comparaison) Le
Petit Prince de Saint-Exupéry.
J’ai appris qu’il était
étudié dans certaines écoles et je trouve ça tellement bien. On peut le
comparer à un conte parce qu’il en a les caractéristiques. Il est plein de
poésie et d’une imagination fertile. Tomek est un petit homme inspirant qui n’hésite
pas à aider les autres. On aime aussi les différents univers qu’il découvre et
les personnes qu’il aide par son bon cœur. On rit par le côté ingénu de Tomek
mais il nous rend aussi triste. C’est vraiment très beau.
J’ai adoré cette histoire !
Elle est touchante et inspirante. Les personnages et l’histoire en elle-même
dégagent énormément de choses. C’est une aventure qu’on aimerait tous vivre
quand on est enfant. Très belle découverte ! Je lirai le second tome « Hannah »
avec très grand plaisir s’il vient à tomber entre mes mains.
Petite énigme tirée du livre (réponse en bas de page de la chronique) :
« Nous sommes sœurs, aussi fragiles que les ailes du papillon, mais nous pouvons faire disparaître le monde. Qui sommes-nous ? »
Saurez-vous le deviner ?
[Les paupières]
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