Editions : J’ai
lu
Genre : Nouvelles,
Fantastique
Date de sortie : 2010
Nombre
de pages : 192
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Partout
dans le monde renaissent les rituels hideux d’un culte blasphématoire que l’on
croyait disparu à jamais : le culte de Cthulhu. Les peuplades primi-tives
se révoltent pour adorer d’odieuses idoles à l’effigie de la monstrueuse
créature à tête de poulpe, endormie depuis des millions d’années dans sa
demeure sous-marine de R’Iyeh. Les temps seraient-ils venus ? Quelques
hommes courageux, comme le professeur Angell, l’inspecteur Legrasse et le
lieutenant Johansen, vont tenter de s’opposer au réveil de Cthulhu. Mais que
peut le courage contre une abominable venue d’outre-espace, dont la simple vue
suffit à vous faire perdre la raison ?
Mon
avis
Court article pour vous
expliquer mon abandon du très célèbre Mythe
de Cthulhu de H.P. Lovecraft. Pour la petite anecdote, j’ai ce livre depuis
de nombreuses années dans ma PAL parce que l’acteur Jared Padalecki (Sam dans
ma série préférée Supernatural) en avait parlé dans une vidéo d’une convention
(si mes souvenirs sont bons) et comme je l’aime d’amour, je l’ai écouté ♡
Donc, voilà, retour au
présent (enfin au passé proche) (j’aime la précision, ahah) : je participe
au "Hold My SFFF Challenge" qui consiste à lire un livre (ou plusieurs) par mois
sur un thème autour de la fantasy et du fantastique, et en l’occurrence, au
mois de juin, parmi une liste en rapport avec le thème « Monstres &
Créatures : venez comme vous êtes », il y avait Le Mythe de Cthulhu et c’était le moment idéal pour lire ce livre.
Malheureusement, je n’y ai
rien compris. Ma lecture avait pourtant bien démarré, ça me plaisait assez bien
et puis, j’ai été totalement perdue… C’est extrêmement long et pour être tout à
fait honnête, ce n’est qu’au moment où je l’ai abandonné que j’ai appris qu’il
s’agissait de nouvelles n’ayant « rien » à voir entre elles ou plutôt
si mais il n’était question que du sujet principal (enfin si j’ai bien compris
ce que je n’ai pas compris justement).
Quand j’ai senti que ça n’allait
plus, je me suis dit qu’il s’agissait peut-être du fait que je lisais le soir
et que j’étais fatiguée mais même en lisant le matin ou dans la journée quand
je pouvais, rien n’y a fait. C’est un abandon pur et simple. L’écriture est
lourde et c’est trop long. Certaines phrases à rallonge me perdaient en cours
de route alors que je n’avais pas atteint la fin.
Alors, certes, l’auteur
sait dégager une certaine atmosphère d’angoisse, de lourdeur mais justement
trop de lourdeur tue le livre. Peut-être, un jour, retenterais-je de le lire
mais pour être tout à fait honnête, je n’y crois pas moi-même en le disant.
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