Editions : Kana
Genre : Manga,
Seinen
Date de sortie : 2010
Nombre
de pages : 192
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Une
série de science-fiction poétique et surprenante !
La
Terre étant devenue une zone protégée, les hommes vivent désormais dans une
cité formant un anneau autour de la planète.
A
peine sorti de l’école, Mitsu devient laveur de carreau tout comme l’était son
père, disparu mystérieusement. En nettoyant leurs vitres, c’est un peu comme si
Mitsu pénétrait dans le petit monde de chaque habitant…
Mon
avis
Faire la chronique du tome
4 de ce manga se révèle toujours aussi difficile puisque je les confonds tous
mais mon ressenti général évolue au fil des différents tomes. Je l’aime de plus
en plus cette histoire, elle me touche, elle m’émeut parfois, je la trouve
mignonne. Les personnages principaux évoluent au gré de l’histoire et on
apprend même à en apprécier certains qui pouvaient nous exaspérer au début. Et
puis, vu que j’apprends à les connaître, je parviens à mieux les distinguer
quand ils apparaissent dans le manga.
Les dessins sont beaux mais
je dois avouer que jusqu’à la fin, j’ai confondu certains des personnages
secondaires qui se ressemblent un peu trop. C’est un des points négatifs.
Je trouve que l’histoire
est moins redondante que ce qu’elle était, on n’est plus sur Mitsu qui nettoie
un carreau et le client le fait appeler. Là, on commence à parler du voyage sur
Terre et c’est plus intéressant.
Plus j’avance dans ce
manga, plus je m’attache à ses personnages et plus j’ai envie de connaître la
fin de cette histoire. Maintenant je la connais mais c’est ce que j’ai ressenti
à la fin de ce tome 4. Mitsu grandit et on y assiste avec une légère émotion.
En allant relire ce que j’ai dit sur Goodreads à propos de ce tome (Goodreads,
c’est vraiment là où je donne mon impression sur le moment, quand je viens de
terminer ma lecture), je trouve que cela résume très bien mon ressenti à partir
de ce tome : « Quand j’aurai fini de lire cette série de manga, j’aurai
un petit pincement au cœur, je le sais maintenant. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire