(Mieux vaut tard que jamais
mais c’est vrai que quatre mois de retard, c’est un peu abusé (je m’auto-juge).
Toutefois, l’envie de vous en parler étant plus forte que tout, je vais tenter
de démêler mes souvenirs et vous raconter ma première expérience à Livre Paris
(enfin pas tout à fait la première mais je vous en reparlerai.)
🕮
Je ne sais plus si c’est ma
meilleure pote ou moi qui l’ait proposé en premier mais nous nous sommes
décidées à aller au Salon du Livre de Paris le samedi 16 mars 2019 (c’est hyper
précis) avec sa maman. Venant de la campagne, se rendre là-bas se révèle être
une petite expédition simplement pour trouver un train (et prendre le métro
serrés comme des sardines, ce n’était pas non plus une partie de plaisir) mais
franchement, ces petits détails mis à part, le reste n’est que du positif.
Comme je vous le disais, ce
n’est pas la première fois que je me rendais sur le salon mais la première fois
fut tellement un mauvais souvenir que j’ai mis beaucoup de temps à y retourner,
surtout que je n’y allais pas en tant que lectrice. Pour vous la faire courte
et parce que le raconter une nouvelle fois, ce serait plus que je n’en ai
besoin : j’y étais allée pour déposer des CVs à des maisons d’édition.
Passons cette partie et allons à l’essentiel : j’ai passé une journée
géniale ce 16 mars !
A la base, avec ma pote, on
y allait pour rencontrer Michel Bussi (même si moi j’avais une liste longue
comme mon bras). Malheureusement, on n'a pas pu parce qu'il y avait beaucouuuuup de monde.
Déjà, quand tu rentres dans le salon, clairement, tu perds les
pédales, ahah. Des livres partout à perte de vue et un immense endroit où on a
bien du mal à se repérer mais un plaisir des yeux incroyable, moins pour le
porte-monnaie mais pour les yeux, c’est certain.
On avait regardé les
horaires et vu qu’Aurélie Valognes était présente dès le matin mais, même si on
avait que quelques minutes de retard sur l’ouverture du salon, il y avait déjà
une file d’attente immense qui m’a empêché de prendre mon ticket pour la
dédicace de Victor Dixen. L’auteure était un peu en retard mais entre deux, j’ai
pu aller voir Sophie Tal Men et prendre Les
Yeux couleur de pluie (enfin dans le sens inverse puisqu’à chaque fois, et
c’était un peu chaud vu le monde, il fallait acheter le livre… et comme j’y
allais au gré de mes envies et des découvertes des auteurs…). On a bien ri dans
la file d’attente de Sophie Tal Men puis est venue ma rencontre avec l’auteure.
Elle est vraiment sympa et m’a donné envie de lire tous ses livres, hihi. Il y a peu,
j’ai lu Les Yeux couleur de pluie et
malheureusement, ce ne fut pas le grand amour… mais j’ai tout de même l’intention
de lire la suite.
Ensuite, j’ai enfin pu
rencontrer (pour la seconde fois) Aurélie Valognes.
Je suis fan de cette
auteure !!! Je lui ai fait dédicacer Au petit bonheur la chance ! que j’ai
ADORÉ (c’est mon préféré !) et lui ai dit tout mon amour pour ce livre. On
a pu faire une photo avec mon amie (bff) (& je me suis rendue compte, même
si je le savais déjà un peu, qu’il faut VRAIMENT que je perde du poids) (mais
je garde tout de même précieusement cette photo).
Est ensuite venue une
magnifique découverte : Laure Manel. J’entends parler de ses livres depuis
quelques temps et suis fan des titres de ses livres : La Délicatesse du homard ou La
Mélancolie du kangourou. J’ai choisi le premier et lui ai dit que c’est le
titre qui m’avait charmé. Maintenant que je l’ai lu, je peux vous le dire, j’ai
adoré son livre ! Je compte bien me procurer sous peu La Mélancolie du kangourou.
Je crois que c’est à ce
moment qu’on est allées manger (encore une file d’attente pour pouvoir manger,
c’est un plaisir, ahah).
On a un peu marché dans le
salon (je fais genre on a déambulé alors que je voulais aller à un endroit
précis) et là, « comme par hasard », on est tombées sur Clémentine
Beauvais. J’ai énormément entendu parler des Petites Reines et c’était l’occas’ de faire d’une pierre deux
coups. J’ai eu une légère frayeur en voyant qu’il n’y avait que des
adolescentes mais, même si je n’en suis plus une, après tout, j’ai le droit de
rencontrer les auteur(e)s qui me plaisent. (J’argumente toute seule alors que
personne n’a rien dit.. ahah !) Encore une fois, auteure trèèès sympa, on
papote et me voilà repartie avec Les
Petites Reines qui me faisait tant de l’œil.
Parmi ceux que je voulais
(extrêmement) rencontré, il y avait Baptiste Beaulieu et Delphine de Vigan. J’ai
fini par voir les deux mais pas dans le même sens. Delphine de Vigan a été la
deuxième pour laquelle j’ai le plus attendu au cours de ce salon (on parle de
plus de 2 heures d’attente). Dans cette attente, j’ai rencontré trois personnes
(puis une quatrième s’est greffée) avec qui j’ai énormément ri et parlé (ma
pote étant partie ailleurs avec sa maman). Ces inconnues devenues des
connaissances voulaient même me garder une place dans la file d’attente de
Baptiste Beaulieu juste après puisqu’elles avaient des amies qui attendaient.
Elles étaient ultra sympa, encourageantes, et on a parlé comme si on se
connaissait depuis dix ans. Franchement, je crois pouvoir dire que c’était la
meilleure file d’attente dans laquelle je me suis retrouvée. Est venue, après
toute cette attente, la rencontre avec Delphine de Vigan et même si ce ne fut
pas très long (en même temps, il faut penser aux autres qui attendent), j’ai pu
lui dire mon amour pour D’après une
histoire vraie et Les gratitudes,
et me faire dédicacer Rien ne s’oppose à
la nuit que je n’ai pas lu mais dont on ne m’a dit que du bien, surtout
dans la queue pour la voir. Elle est vraiment toute mignonne Delphine de Vigan.
Ma dernière dédicace a été celle
tant (tant, tant) attendue de Baptiste Beaulieu et de son sublime Toutes les histoires d’amour du monde,
ce livre est une pure merveille. Je me l’étais d’ailleurs procuré dès le matin
en arrivant. Il n’y avait pourtant pas grand monde devant moi (je ne parle pas
de derrière, là je ne voyais pas le bout) puisque mes amies avaient fait la
queue pour moi, mais ça n’avançait vraiment pas. C’est en arrivant près de l’auteur
que j’ai compris… Baptiste Beaulieu est un rêveur, ahah ! Il discute avec
les gens puis rencontre une autre personne et va papoter, c’est un véritable
petit papillon et c’est pour ça qu’on l’aime. Quand mon tour fut venu, j’ai été
très émue, ça m’a prise par surprise… et avec des trémolos dans la voix, j’ai
pu lui dire mon amour et mon admiration pour Toutes les histoires d’amour du
monde que je veux propager autour de moi. Cet auteur est un être incroyable,
rempli de générosité et sensible comme on en voit peu. C’est une très belle
découverte humainement parlant. Je suis repartie très émue avec mes livres sous
le bras et des étoiles plein les yeux.
J’ai fini la journée en
achetant La Couleur du Mensonge d’Erin
Beaty qui me faisait de l’œil depuis très longtemps et passer sur le stand des
éditions Lumen était un réel plaisir vu le décor ! Il était juste waw !
Et le dernier livre de
cette fabuleuse journée fut : le tome 2 de L’Atelier des Sorciers de Kamome Shirahama que je voulais
absolument et dont l’occasion était trop belle.
Ce 16 mars 2019 fut une
journée incroyable, pleine de découvertes, de superbes rencontres et d’étoiles
plein les yeux (& une PAL qui ne veut plus diminuer mais ne fait qu’augmenter)
! A renouveler bien sûr !!!
♡♡♡
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