dimanche 30 juin 2019

La Cité Saturne - Tome 2

Auteure : Hisae Iwaoka
Editions : Kana
Genre : Manga, Seinen
Date de sortie : 2010
Nombre de pages : 192

Quatrième de couverture
Une série de science-fiction poétique et surprenante !
La Terre étant devenue une zone protégée, les hommes vivent désormais dans une cité formant un anneau autour de la planète.
A peine sorti de l’école, Mitsu devient laveur de carreau tout comme l’était son père, disparu mystérieusement. En nettoyant leurs vitres, c’est un peu comme si Mitsu pénétrait dans le petit monde de chaque habitant…
Mon avis

En débutant cette chronique, je me demande si je ne devrais pas faire un copié-collé de la chronique du tome 1 pour vous parler de celui-ci, tellement ils se ressemblent et que je les confonds. Mais finalement, non. Je ne relis pas non plus la première pour ne pas me laisser influencer donc s’il y a des similitudes, don’t judge me, ahah. C’est aussi ça la magie d’être en retard dans tes chroniques, c’est que tu dois te remémorer ce que tu as ressenti au moment de ta lecture, au lieu de l’écrire à chaud quand tu l’as terminé. Bien ouej Justine ! C’est dans ces moments aussi que je me trouve indigne de tenir un blog ^^ Enfiiiin bref. Parlons de ce deuxième tome de La Cité Saturne que je confonds probablement avec le premier. C’est parti !

Je ne m’étais pas rendue compte que la quatrième de couverture était identique…
Lire La Cité Saturne, c’est comme regarder plein de petits épisodes de Grey’s anatomy ou de New York – Section criminelle (je les prends au hasard ces séries mais c’est aussi parce que je les adore), les épisodes ne se suivent pas, dans le sens où vous pouvez les regarder dans le désordre mais en même temps, comme dans Grey’s anatomy, il faut tout de même suivre depuis le début pour comprendre l’intrigue. You know what I mean ? Ce manga est fait de plein de petits épisodes similaires qui n’ont rien à voir entre eux mais dont on suit l’évolution et dont on constate tout de même une intrigue (celle à propos du père). Toute cette énergie dépensée pour vous faire comprendre cette comparaison… je me dis que cette chronique ne mène nulle part, héhé.

Sinon, je ne retrouve pas ce côté poétique proposé par la quatrième de couverture mais j’en viens à m’attacher aux personnages (surtout Mitsu et Mr. Jin) et comme je suis curieuse de la suite, je ne vais pas lâcher l’affaire. Du coup, je vous dirai ce qu’il en est pour le troisième tome et ça se fera sûrement dans une chronique plus construite.


Au final, c’est peut-être un moment de douceur que l’on passe avec ce manga, sans prise de tête, à se laisser porter par les différentes missions de Mitsu, tout en en apprenant davantage sur son père. J’ai un souhait pour cette suite : que l’on puisse aller faire un tour sur cette Terre dite « invivable » et dont on fait tant de mystères.

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