Editions : Kana
Genre : Manga,
Seinen
Date de sortie : 2010
Nombre
de pages : 192
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Une
série de science-fiction poétique et surprenante !
La
Terre étant devenue une zone protégée, les hommes vivent désormais dans une
cité formant un anneau autour de la planète.
A
peine sorti de l’école, Mitsu devient laveur de carreau tout comme l’était son
père, disparu mystérieusement. En nettoyant leurs vitres, c’est un peu comme si
Mitsu pénétrait dans le petit monde de chaque habitant…
Mon
avis
En débutant cette
chronique, je me demande si je ne devrais pas faire un copié-collé de la
chronique du tome 1 pour vous parler de celui-ci, tellement ils se ressemblent et que je les confonds. Mais finalement, non. Je ne
relis pas non plus la première pour ne pas me laisser influencer donc s’il y a
des similitudes, don’t judge me, ahah. C’est aussi ça la magie d’être en retard
dans tes chroniques, c’est que tu dois te remémorer ce que tu as ressenti au
moment de ta lecture, au lieu de l’écrire à chaud quand tu l’as terminé. Bien
ouej Justine ! C’est dans ces moments aussi que je me trouve indigne de
tenir un blog ^^ Enfiiiin bref. Parlons de ce deuxième tome de La Cité Saturne que je confonds
probablement avec le premier. C’est parti !
Je ne m’étais pas rendue
compte que la quatrième de couverture était identique…
Lire La Cité Saturne, c’est
comme regarder plein de petits épisodes de Grey’s anatomy ou de New York –
Section criminelle (je les prends au hasard ces séries mais c’est aussi parce
que je les adore), les épisodes ne se suivent pas, dans le sens où vous pouvez
les regarder dans le désordre mais en même temps, comme dans Grey’s anatomy, il
faut tout de même suivre depuis le début pour comprendre l’intrigue. You know
what I mean ? Ce manga est fait de plein de petits épisodes similaires qui
n’ont rien à voir entre eux mais dont on suit l’évolution et dont on constate
tout de même une intrigue (celle à propos du père). Toute cette énergie
dépensée pour vous faire comprendre cette comparaison… je me dis que cette
chronique ne mène nulle part, héhé.
Sinon, je ne retrouve pas
ce côté poétique proposé par la quatrième de couverture mais j’en viens à m’attacher
aux personnages (surtout Mitsu et Mr. Jin) et comme je suis curieuse de la
suite, je ne vais pas lâcher l’affaire. Du coup, je vous dirai ce qu’il en est
pour le troisième tome et ça se fera sûrement dans une chronique plus
construite.
Au final, c’est peut-être
un moment de douceur que l’on passe avec ce manga, sans prise de tête, à se
laisser porter par les différentes missions de Mitsu, tout en en apprenant
davantage sur son père. J’ai un souhait pour cette suite : que l’on puisse
aller faire un tour sur cette Terre dite « invivable » et dont on
fait tant de mystères.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire