Réalisation : Roger
Allers & Rob Minkoff
Genre : Film
d’animation
Année : 1994
Durée :
1h29
Synopsis
Sur les Hautes terres
d’Afrique règne un lion tout-puissant, le roi Mufasa, que tous les hôtes de la
jungle respectent et admirent pour sa sagesse et sa générosité. Son jeune fils
Simba sait qu’un jour il lui succèdera, conformément aux lois universelles du
cycle de la vie, mais il est loin de deviner les épreuves et les sacrifices que
lui imposera l’exercice du pouvoir. Espiègle, naïf et turbulent, le lionceau
passe le plus clair de son temps à jouer avec sa petite copine Nala et à
taquiner Zazu, son digne précepteur. Son futur royaume lui apparaît en songe
comme un lieu enchanté où il fera bon vivre, s’amuser et donner des ordres.
Cependant, l’univers de Simba n’est pas aussi sûr qu’il le croie. Scar, le
frère de Mufasa, aspire en effet depuis toujours au trône. Maladivement jaloux
de son aîné, il intrigue pour l’éliminer en même temps que son successeur.
Misant sur la curiosité enfantine et le tempérament aventureux de Simba, il
révèle à celui-ci l’existence d’un mystérieux et dangereux cimetière
d’éléphants. Simba, oubliant les avertissements répétés de son père, s’y rend
aussitôt en secret avec Nala et se fait attaquer par 3 hyènes féroces. Par
chance, Mufasa arrive à temps pour sauver l’imprudent lionceau et sa petite
compagne. Mais Scar ne renonce pas à ses sinistres projets. Aidé des 3 hyènes,
il attire Simba dans un ravin et lance à sa poursuite un troupeau de gnous. N’écoutant
que son courage, Mufasa sauve à nouveau son fils et tente de se mettre à l’abri
en gravissant la falaise. Repoussé par son frère félon, il périt sous les
sabots des gnous affolés. Scar blâme alors l’innocent Simba pour la mort du Roi
et le persuade de quitter pour toujours les Hautes terres. Simba se retrouve
pour la première fois seul et démuni face à un monde hostile. C’est alors que
le destin place sur sa route un curieux tandem d’amis...
(Allociné)
Mon
analyse
(Je suis tellement en
retard dans mes articles que ça en devient effrayant ^^ Dites-vous que je suis
allée voir le live action du Roi Lion
quelques jours après sa sortie donc ça remonte tout de même un peu..)
Le film d’animation Le Roi Lion m’a marqué comme tout un
chacun par la mort de Mufasa (traumatisme d’enfance) mais ça n’a jamais été mon
Disney préféré, je le plaçais un peu au même niveau que Bambi. Mes personnages préférés étaient tout de même Timon &
Pumbaa (gros amour pour ces deux-là ♡), mais voilà, ça s’arrêtait là.
Il y a quelques années, je
l’ai revu et ça a été le coup de cœur, peut-être parce que j’avais grandi et que
je voyais les choses autrement… Maintenant, à chaque fois que je le regarde, j’y
vois plein de signes, pleins de belles choses. Je suis épatée d’un si beau
Disney qui nous fait vivre tant d’émotions. Timon et Pumbaa restent mes
personnages préférés pour la vie, ils me font extrêmement rire ! J’adore
leurs voix et leurs comportements de mères nourricières. Ils me tiennent à cœur
ces personnages. Je me souviens qu’étant petite, je les avais tellement aimé qu’on
avait acheté les cassettes de films dérivés avec eux.
Alors que le revisionnage l’année
dernière de Bambi a été une franche
déception, Le Roi Lion est désormais un de mes Disney préférés. Il est
touchant, drôle, pendant un quart de seconde nous fait apprécier Scar pour le
mépriser tout le reste du film. Il est d’une grande beauté d’un point de vue
des images et les personnages sont fantastiques.
Par contre, quelque chose
qui m’a toujours soûlé, c’est que Simba soit accusé d’avoir tué son père même
quand il explique que ce n’était qu’un accident… je veux dire, ce n’était qu’un
enfant (-lion) un bébé quoi. Mais tout le monde semble choqué quand il essaie
de s’expliquer.
Bref, gros coup de cœur. J’adore
ce Disney, un des meilleurs ! Hakuna Matata à tous ! D'ailleurs, écoutez-moi ça, ça fait du bien : "Hakuna Matata".
🦁
Titre original : The Lion King
Réalisation : Jon
Favreau
Genre : Film
d’animation
Année : 2019
Durée :
1h58
Synopsis
Au fond de la savane
africaine, tous les animaux célèbrent la naissance de Simba, leur futur roi.
Les mois passent. Simba idolâtre son père, le roi Mufasa, qui prend à cœur de
lui faire comprendre les enjeux de sa royale destinée. Mais tout le monde ne
semble pas de cet avis. Scar, le frère de Mufasa, l'ancien héritier du trône, a
ses propres plans. La bataille pour la prise de contrôle de la Terre des Lions
est ravagée par la trahison, la tragédie et le drame, ce qui finit par
entraîner l'exil de Simba. Avec l'aide de deux nouveaux amis, Timon et Pumbaa,
le jeune lion va devoir trouver comment grandir et reprendre ce qui lui revient
de droit…
(Allociné)
Mon
analyse
Quand j’ai vu le trailer du
live action (je ne sais même pas si c’est le bon terme..) du Roi Lion, j’étais
à la fois très excitée de voir le film et en même temps déçue. Déçue de ne pas
retrouver ces mimiques et les caractéristiques physiques des personnages du
film d’animation. Beaucoup ont dit : « mais ils ont reproduit des
animaux comme ils sont en vrai, de quoi vous vous plaignez !? » (Oui,
j’en ai vu passer plein de tweets comme ça). Certes, mais j’ai envie de dire qu’à
la base, les animaux ne parlent pas non plus alors pourquoi ne pas leur donner
des caractéristiques physiques d’humains comme le film d’animation de 1994 ?!
J’étais dans cet état d’esprit
quand j’ai vu la bande-annonce mais ce n’était plus pareil une fois que j’ai pu
voir le film. Parce que je l’ai beaucoup apprécié. C’est vrai que l’on ne retrouve pas toutes les
mimiques, que les chansons ne sont pas tout à fait pareilles, que les voix ont
changé pour beaucoup mais au pire, on s’en balek’ ! On passe juste un bon
moment à revivre les émotions du film. J’ai adoré les voix d’Alban Ivanov et
Jamel Debbouze. Ils ont su me faire aimer autrement Timon et Pumbaa.
Les images sont toujours
aussi belles mais d’une autre manière. Par contre, je trouve que les lionnes et
les hyènes se ressemblent un peu trop entre elles, de ce fait, on a un peu de
mal à les différencier..
Je ne saurais pas dire si c’est
un coup de cœur mais j’ai tout de même beaucoup aimé ! (Et la prochaine
fois, clairement, je fermerai ma gueule avant de voir un film).
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