Réalisation : Héctor
Cabello Reyes
Genre : Comédie
Année : 2019
Durée :
1h24
Synopsis
Coline et André sont en
parfaite harmonie avec leur fille, Garance, et leur gendre Harold. Mais Garance
se sépare d’Harold et ordonne à ses parents de ne plus jamais le revoir. Les
beaux-parents ne peuvent s’y résoudre : elle l’a largué, mais pas eux ! Ils
devront mener une double vie pour continuer à voir leur gendre adoré, en
cachette de leur fille, qui ne va pas les lâcher...
(Allociné)
Mon
analyse
C’est bien parce qu’il
passait dans mon village que je suis allée voir ce film. Ce n’est généralement
pas le genre de film que j’aime aller voir, les quiproquos ça a vite fait de me
soûler et ce sont souvent des moments gênants à affronter (c’est limite comme
regarder L’Amour est dans le pré) et
avec Beaux-parents, le film ne tourne
autour que de cela, c’est the quiproquo.
En réalité, ce n’est pas qu’un
quiproquo, c’est avant tout une non-écoute de l’autre alors qu’il tente de s’expliquer,
ce qui rend la chose vraiment très énervante. C’est vraiment le genre de truc
qui me fait péter un câble (c’est tellement frustrant les gens qui n’écoutent
pas) et ce film nous fait atteindre son paroxysme à tel point que cela en
devient même un vaudeville.
Oui, je l’ai dit : un
vaudeville, en mode l’amant dans le placard (et les parents dans la salle de
bain). Mais bon, il suffirait juste que le personnage de Garance soit un
tant soit peu à l’écoute pour connaître toute la vérité et lui faire un peu
confiance.
Je suis fan du quatuor d’acteurs :
Bénabar, Charlie Bruneau, Josiane Balasko et Didier Bourdon. Ils forment un
très bon groupe auquel on croit. La relation d'Harold et ses beaux-parents est toute mignonne, il est devenu un véritable fils pour eux, au point que, nous non plus, on ne veut pas qu'ils se séparent avec Garance.
Cela n’a pas été le film de
l’année 2019 mais on passe un bon moment, il est drôle, j’ai été agréablement
surprise.
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