Réalisation : Jon
Favreau
Genre : Live
Action
Année : 2016
Durée :
1h43
Synopsis
Les aventures de Mowgli, un
petit homme élevé dans la jungle par une famille de loups. Mais Mowgli n’est
plus le bienvenu dans la jungle depuis que le redoutable tigre Shere Khan, qui
porte les cicatrices des hommes, promet d’éliminer celui qu’il considère comme
une menace. Poussé à abandonner le seul foyer qu’il ait jamais connu, Mowgli se
lance dans un voyage captivant, à la découverte de soi, guidé par son mentor la
panthère Bagheera et l’ours Baloo. Sur le chemin, Mowgli rencontre des
créatures comme Kaa, un pyton à la voix séduisante et au regard hypnotique et
le Roi Louie, qui tente de contraindre Mowgli à lui révéler le secret de la
fleur rouge et insaisissable : le feu.
(Allociné)
Mon
analyse
Ce live action adapté du
film d’animation Le Livre de la Jungle,
je ne l’avais jamais vu, peut-être parce que ce n’est pas vraiment mon Disney
préféré. Mais c’était une bonne occasion d’y remédier quand il est passé à la
télévision.
J’ai adoré la manière dont
les animaux ont été réalisés ; ils étaient à la fois réalistes tout en
ayant gardés le côté « humain » du film d’animation. C’est étrange à
dire mais c’est aussi ce qui fait qu’on aime ces films, surtout quand ils sont « l’adaptation »
d’un dessin animé de notre enfance (on aime qu’il garde les mêmes
caractéristiques).
De même qu’en voyant la
bande-annonce du Roi Lion (de cette
année) (que je n’ai toujours pas vu… shame on me), j’ai été un peu déçue de ce
trop-plein de réalisme des animaux. Alors j’ai vu un tas de gens dire « vous
vous attendiez à quoi ? Les animaux sont comme ça, ils ne sourient pas et
n’ont pas les caractéristiques faciales des hommes… » et autres. Ben déjà,
les animaux NE PARLENT PAS donc pourquoi ne pas leur ajouter ces détails qu’on
aime tant ? Suis-je en train de pousser un petit coup de gueule ?
Non, ce n’est pas mon genre. Bref, pour Le Livre de la Jungle, je ne suis pas
déçue parce que les animaux n’ont pas été totalement mochis (passion invention
de mots) pour qu’on les rende plus réalistes.
De plus, de la même manière
que pour Bambi, je n’avais pas gardé beaucoup de souvenirs de ce Disney, à part
les scènes de chants et des personnages en terme général. « Il en faut peu pour être heureux » par Baloo & « Être un homme comme vous »
par Louie King sont les seules chansons qui ressortent et pour tout vous dire,
je ne savais même pas que King Louie était un « méchant » (à croire
que je n’ai jamais vu ce Disney).
Ce n’est toujours pas mon
Disney préféré mais j’ai passé un bon moment à le regarder (à le redécouvrir)
et j’ai bien chanté (sous le regard réprobateur de mon chat). C’était vraiment
sympa. C’est une histoire touchante sur la différence, sur la famille et sur le
monde des hommes vs le monde des animaux. Ça véhicule simplement des messages
et j’aime ça.
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