lundi 19 août 2019

Le Livre de la Jungle (2016)

Titre original : The Jungle Book
Réalisation : Jon Favreau
Genre : Live Action
Année : 2016
Durée : 1h43

Synopsis

Les aventures de Mowgli, un petit homme élevé dans la jungle par une famille de loups. Mais Mowgli n’est plus le bienvenu dans la jungle depuis que le redoutable tigre Shere Khan, qui porte les cicatrices des hommes, promet d’éliminer celui qu’il considère comme une menace. Poussé à abandonner le seul foyer qu’il ait jamais connu, Mowgli se lance dans un voyage captivant, à la découverte de soi, guidé par son mentor la panthère Bagheera et l’ours Baloo. Sur le chemin, Mowgli rencontre des créatures comme Kaa, un pyton à la voix séduisante et au regard hypnotique et le Roi Louie, qui tente de contraindre Mowgli à lui révéler le secret de la fleur rouge et insaisissable : le feu.
(Allociné)

Mon analyse

Ce live action adapté du film d’animation Le Livre de la Jungle, je ne l’avais jamais vu, peut-être parce que ce n’est pas vraiment mon Disney préféré. Mais c’était une bonne occasion d’y remédier quand il est passé à la télévision.

J’ai adoré la manière dont les animaux ont été réalisés ; ils étaient à la fois réalistes tout en ayant gardés le côté « humain » du film d’animation. C’est étrange à dire mais c’est aussi ce qui fait qu’on aime ces films, surtout quand ils sont « l’adaptation » d’un dessin animé de notre enfance (on aime qu’il garde les mêmes caractéristiques).

De même qu’en voyant la bande-annonce du Roi Lion (de cette année) (que je n’ai toujours pas vu… shame on me), j’ai été un peu déçue de ce trop-plein de réalisme des animaux. Alors j’ai vu un tas de gens dire « vous vous attendiez à quoi ? Les animaux sont comme ça, ils ne sourient pas et n’ont pas les caractéristiques faciales des hommes… » et autres. Ben déjà, les animaux NE PARLENT PAS donc pourquoi ne pas leur ajouter ces détails qu’on aime tant ? Suis-je en train de pousser un petit coup de gueule ? Non, ce n’est pas mon genre. Bref, pour Le Livre de la Jungle, je ne suis pas déçue parce que les animaux n’ont pas été totalement mochis (passion invention de mots) pour qu’on les rende plus réalistes.

De plus, de la même manière que pour Bambi, je n’avais pas gardé beaucoup de souvenirs de ce Disney, à part les scènes de chants et des personnages en terme général. « Il en faut peu pour être heureux » par Baloo & « Être un homme comme vous » par Louie King sont les seules chansons qui ressortent et pour tout vous dire, je ne savais même pas que King Louie était un « méchant » (à croire que je n’ai jamais vu ce Disney).


Ce n’est toujours pas mon Disney préféré mais j’ai passé un bon moment à le regarder (à le redécouvrir) et j’ai bien chanté (sous le regard réprobateur de mon chat). C’était vraiment sympa. C’est une histoire touchante sur la différence, sur la famille et sur le monde des hommes vs le monde des animaux. Ça véhicule simplement des messages et j’aime ça.

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