Editions : Pocket
Genre : Roman
Date de sortie : 2016
Nombre
de pages : 256
Quatrième de couverture
Quatrième de couverture
Rentrée
d’Irlande, Diane est bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de
son ami Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son
café littéraire. C’est là, aux « Gens heureux lisent et boivent du café »,
son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné, et,
surtout, il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car elle ne peut se
remettre de la perte de sa fille.
Bientôt,
un évènement inattendu va venir bouleverser les certitudes de Diane quant à son
choix, pour lesquels elle a tant bataillé.
Aura-t-elle
le courage d’accepter un autre chemin ?
Mon
avis
Comment vous exprimer mon
amour pour Les Gens heureux lisent et
boivent du café ? Peut-être en vous disant que je suis amoureuse de
cette histoire parce qu’elle est triste, émouvante et drôle ou qu’elle a une
suite qui l’est tout autant. J’adore lire les « aventures » de Diane
et je peux vous dire qu’en refermant ce second volume, j’étais particulièrement
triste : triste de quitter ces personnages qui m’ont touchés au plus
profond. Je les aime, voilà c’est dit.
Dans La vie est facile, ne t’inquiète pas, on retrouve notre Diane en
bien meilleure forme dans son café littéraire auprès de Félix (qui n’a pas
changé d’un iota). Notre héroïne prend les rennes de sa vie et après la
stabilisation de son existence, elle se laisse couler dans sa nouvelle relation
avec Olivier.
C’est la partie tranquille
de cette chronique, maintenant je vais spoiler /!\ [ALERTE SPOIL] Olivier
est gentil certes, il fait tout pour aider Diane à continuer de se reconstruire
maiiis il est gnangnan, il ne provoque pas de petite étincelle, il est trop
clean et trop prévenant. Il est pourtant TOUT ce que j’aime chez un personnage
masculin. Toutefois, quand on a fait la connaissance d’Edward… OH MON
DIEU ! Comment vous dire que la comparaison n’est pas possible !
Edward est génial et provoque autant de sentiments chez Diane que chez moi.
Ahah ! Il est bougon, grognon, pas facile à vivre, un peu rancunier MAIS
on l’aime notre Edward parce qu’il sait être terriblement attentionné et
passionné. [FIN DU SPOIL]
On s’attache à tous les personnages :
du plus ancien au plus nouveau et on aimerait tous les serrer dans nos bras
parce qu’ils le méritent. Je suis émue de les quitter et n’hésiterais pas une
seconde à lire un nouveau livre où l’auteure nous raconte que tout va bien
désormais dans la vie de Diane.
Ah sacrée Diane ! Elle
me fait adorer l’Irlande et ses paysages alors que je n’y suis jamais allée. J’aime
avoir froid avec eux et respirer à plein poumon face à la mer ou même boire une
Guinness. Bon les personnages fument toujours autant dans ce roman au point que
cela en devient étouffant par moment. Mais paradoxalement, les moments où ils
sortent fumer dehors apportent aussi une sorte de bouffée d’oxygène (vous voyez
le paradoxe ?) parce que souvent, ces personnages sortent pour, avant tout, se changer les idées des tracas qui les pourchassent.
J’ai découvert Agnès
Martin-Lugand grâce à Les gens heureux
lisent et boivent du café et après trois romans que j’ai énormément appréciés,
il est probable qu’elle entre dans mon top 10. Son style d’écriture me plaît
beaucoup et me fait passer par de multiples émotions.
Cela faisait longtemps que
je n’avais pas ressenti une telle excitation de lire un livre. Vous voyez ce
sentiment d’avoir du mal à refermer un bouquin et de ne penser qu’à lui pendant
qu’on fait autre chose ? L’auteure a su me provoquer cette sensation
autant dans le premier et dans ce deuxième livre. C’est un coup de cœur, bien
évidemment et même si je me répète, je suis terriblement triste de devoir
quitter tous ces personnages qui m’ont fait rire et pleurer.
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